Update - Teer Fradee a un an ! Lancement du second évent
Narration
A bord d'un navire naute, en vue de l'île
Un an, ça se fête !
Très chers membres, Teer Fradee a un an ! Joyeux anniversaire à vous et à nous ! Joyeux anniversaire au forum !
Il faut le dire, ces trois derniers mois ont été plus calmes pour l’activité de notre petite communauté, alors à la rentrée on ne va pas la lancer sur un update graphique épuisant ; le Chapitre 1 est toujours d’actualité. Non, nous lançons le second évent du forum !
Nos bonnes résolutions sont simplement de reprendre une activité solide. Malheureusement, ce n’est pas du tout une baisse de motivation qui a fait baisser l’activité du staff mais une conjecture d’irls compliqués (Tass en déménagement et premier emploi, Ros en stage et mémoire, Vaast avec pas mal de soucis personnels). Mais nous sommes là, à présent ! Là, et prêts ! Et nous sommes ravis de vous compter encore parmi nous. Vous êtes une communauté en or, qu’importe sa taille.
Si d’aventure certains anciens repointent le bout de leurs nez après une absence, je rappelle que nous sommes à présents réunis sur Discord ici
Nous allons faire un grand ménage pour compter nos effectifs, il faut donc se recenser juste là
Et l’évent, de quoi parle-t-il ? Loin de la politique et des complots du précédent, il va se concentrer sur la vie d’habitants plus modestes de l’île face aux contraintes de leur installation et aux réalités des dangers de Teer Fradee. Préparez-vous à une incursion dans les contrées sauvages de l’île.
Il faut le dire, ces trois derniers mois ont été plus calmes pour l’activité de notre petite communauté, alors à la rentrée on ne va pas la lancer sur un update graphique épuisant ; le Chapitre 1 est toujours d’actualité. Non, nous lançons le second évent du forum !
Nos bonnes résolutions sont simplement de reprendre une activité solide. Malheureusement, ce n’est pas du tout une baisse de motivation qui a fait baisser l’activité du staff mais une conjecture d’irls compliqués (Tass en déménagement et premier emploi, Ros en stage et mémoire, Vaast avec pas mal de soucis personnels). Mais nous sommes là, à présent ! Là, et prêts ! Et nous sommes ravis de vous compter encore parmi nous. Vous êtes une communauté en or, qu’importe sa taille.
Si d’aventure certains anciens repointent le bout de leurs nez après une absence, je rappelle que nous sommes à présents réunis sur Discord ici
Nous allons faire un grand ménage pour compter nos effectifs, il faut donc se recenser juste là
Et l’évent, de quoi parle-t-il ? Loin de la politique et des complots du précédent, il va se concentrer sur la vie d’habitants plus modestes de l’île face aux contraintes de leur installation et aux réalités des dangers de Teer Fradee. Préparez-vous à une incursion dans les contrées sauvages de l’île.
Le Mystère de Selveggia
Selveggia c’était un symbole pour certaines personnes. Il y a trois ans, quand Nouvelle-Sérène était encore un tas de boue et de planches de bois, un groupe de gens que tout le monde croyait un peu fous a décidé de commencer à faire de la place dans un petit bout de l’île. Jamais on avait encore pensé à construire des habitations ailleurs que près des côtes. Ils ont commencé petit, par venir camper de temps en temps, faire le tour du coin, et puis, comme les petits ruisseaux font la grande rivière, ça a attiré du monde. L’idée, c’était l’autonomie, c’était presque la paix. Ça fait un peu utopiste dit comme ça, mais à Selveggia on vivait tranquille. Les Natifs voulaient pas de cet endroit et même si l’initiative est née dans la tête de gars de la Congrégation, il y avait quelques familles de Thélème, de l’Alliance. Il y avait des enfants, même, certains qu’étaient nés là. Des barraques en bois ont poussé comme des champignons, les habitants ont exploité le bois et un bout de filon en plein air, une carrière de pierre noire du coin. On se disait, en parlant de Selveggia ; oh, c’est pas si terrible cette île. Peut-être qu’on peut vraiment se tailler un futur dessus.
Et puis, il y a quelques mois, c’était juste au début de l’hiver… Je sais pas ce qu’il s’est passé. Des histoires circulaient déjà, des gens avaient déserté leurs maisons, une famille en particulier. Je crois que c’est d’elle que la rumeur a commencé à courir. C’étaient des gens très pieux et ils ont affirmé que la ville était maudite, hantée, qu’il y avait un démon. Ils entendaient des bruits bizarres sous la terre la nuit, leur gamin s’est réveillé en assurant que les murs bougeaient tout doucement comme s’il était revenu sur le pont d’un bateau alors que personne avait rien senti alentours. Des choses disparaissaient sans crier gare. Au début, des objets. Puis, ça a été des gens. Ils laissaient aucune trace derrière eux, même pas de sang.
Selveggia, aujourd’hui, c’est une ville fantôme. Pendant que les grands de ce monde taillaient le bout de gras, elle s’est dépeuplée dans l’indifférence générale. Je sais que certains sont restés, des irréductibles de la première heure. Ils voulaient pas quitter leur foyer, le fruit des économies d’une vie. Mais eux aussi, Selveggia a fini par les prendre. Ils ont annoncé une grande expédition pour retrouver les disparus, mais avec le barouf qu’a fait cette fête de l’équinoxe, personne ne les a entendus. Alors, aux côtés de quelques Natifs, ils sont partis, et depuis, on ne les a pas revus.
Si tu veux mon avis, l’intérêt soudain des Gouverneurs pour cette histoire c’est de l’opportunisme. Ils sont à couteaux tirés, le peuple gronde, il s’inquiète, alors on veut lui servir une belle histoire. Celle de Selveggia, de comment ils vont réussir à la sauver.
C’est une cause perdue. Cet endroit est pas fait pour des gens comme nous, on aurait dû le comprendre quand les Natifs nous ont pas disputé ce lopin, contrairement à tous les autres. Il y avait quelque chose de mauvais, là-bas.
- Récit d’un habitant de Nouvelle-Sérène
Les étrangers ont nommé ce lieu « Selveggia ». Ils sont venus porteurs de bonnes intentions, ont-ils dit, et ils n’ont rien fait pour nous prouver le contraire au fil des mois. Ils chassaient pour leur pitance et s’abritaient de l’averse dans un village de toiles tendues. Nous les avons donc mis en garde.
A cet endroit a coulé la colère du Dieu aux mille visages. La traînée de sa rage balafre encore le paysage, un rappel constant de ce qui pourrait à nouveau advenir. Les histoires diffèrent quant à la cause du mal qui touche cet endroit mais je vous le dis : il n’est pas fait pour les vivants. Passez sans crainte, la tête basse, le pied léger, les mains chargées d’offrandes, mais ne vous attardez pas. C’est ce que nous leur avons dit, mais les continentaux n’ont pas écouté. Certains de notre peuple ont choisi de commercer avec eux, de s’établir tout près d’eux. Nous n’avons plus gâché notre salive. Nous avons attendu. Quand le malheur a frappé leur village, les étrangers sont revenus vers nous, la queue entre les jambes. Nombreux étaient ceux qui ne voulaient rien avoir à faire avec eux ; mais nombreux étaient aussi ceux qui avaient vécu auprès d’eux durant de longs mois, les avaient croisés dans les bois, avaient échangé mots et denrées. Ceux-là ont voulu aider.
Eux aussi sont à présent perdus.
- Récit d’un chasseur de Vigyígidaw, village forestier situé au Nord-Est de Nouvelle-Sérène
Et puis, il y a quelques mois, c’était juste au début de l’hiver… Je sais pas ce qu’il s’est passé. Des histoires circulaient déjà, des gens avaient déserté leurs maisons, une famille en particulier. Je crois que c’est d’elle que la rumeur a commencé à courir. C’étaient des gens très pieux et ils ont affirmé que la ville était maudite, hantée, qu’il y avait un démon. Ils entendaient des bruits bizarres sous la terre la nuit, leur gamin s’est réveillé en assurant que les murs bougeaient tout doucement comme s’il était revenu sur le pont d’un bateau alors que personne avait rien senti alentours. Des choses disparaissaient sans crier gare. Au début, des objets. Puis, ça a été des gens. Ils laissaient aucune trace derrière eux, même pas de sang.
Selveggia, aujourd’hui, c’est une ville fantôme. Pendant que les grands de ce monde taillaient le bout de gras, elle s’est dépeuplée dans l’indifférence générale. Je sais que certains sont restés, des irréductibles de la première heure. Ils voulaient pas quitter leur foyer, le fruit des économies d’une vie. Mais eux aussi, Selveggia a fini par les prendre. Ils ont annoncé une grande expédition pour retrouver les disparus, mais avec le barouf qu’a fait cette fête de l’équinoxe, personne ne les a entendus. Alors, aux côtés de quelques Natifs, ils sont partis, et depuis, on ne les a pas revus.
Si tu veux mon avis, l’intérêt soudain des Gouverneurs pour cette histoire c’est de l’opportunisme. Ils sont à couteaux tirés, le peuple gronde, il s’inquiète, alors on veut lui servir une belle histoire. Celle de Selveggia, de comment ils vont réussir à la sauver.
C’est une cause perdue. Cet endroit est pas fait pour des gens comme nous, on aurait dû le comprendre quand les Natifs nous ont pas disputé ce lopin, contrairement à tous les autres. Il y avait quelque chose de mauvais, là-bas.
- Récit d’un habitant de Nouvelle-Sérène
Les étrangers ont nommé ce lieu « Selveggia ». Ils sont venus porteurs de bonnes intentions, ont-ils dit, et ils n’ont rien fait pour nous prouver le contraire au fil des mois. Ils chassaient pour leur pitance et s’abritaient de l’averse dans un village de toiles tendues. Nous les avons donc mis en garde.
A cet endroit a coulé la colère du Dieu aux mille visages. La traînée de sa rage balafre encore le paysage, un rappel constant de ce qui pourrait à nouveau advenir. Les histoires diffèrent quant à la cause du mal qui touche cet endroit mais je vous le dis : il n’est pas fait pour les vivants. Passez sans crainte, la tête basse, le pied léger, les mains chargées d’offrandes, mais ne vous attardez pas. C’est ce que nous leur avons dit, mais les continentaux n’ont pas écouté. Certains de notre peuple ont choisi de commercer avec eux, de s’établir tout près d’eux. Nous n’avons plus gâché notre salive. Nous avons attendu. Quand le malheur a frappé leur village, les étrangers sont revenus vers nous, la queue entre les jambes. Nombreux étaient ceux qui ne voulaient rien avoir à faire avec eux ; mais nombreux étaient aussi ceux qui avaient vécu auprès d’eux durant de longs mois, les avaient croisés dans les bois, avaient échangé mots et denrées. Ceux-là ont voulu aider.
Eux aussi sont à présent perdus.
- Récit d’un chasseur de Vigyígidaw, village forestier situé au Nord-Est de Nouvelle-Sérène
Bienvenue au second évent de Teer Fradee !
Comme vous avez pu le constater, il y a une petite ambiance spooky derrière tout ça. Comme octobre approche, c’est le moment parfait pour saupoudrer un rien d’Halloween dans tout ce qui compose l’évent.
Alors pour s’y inscrire, c’est juste ici. Il suffit de poster à la suite de ce sujet en précisant quel personnage vous choisissez. Le staff est à votre disposition pour discuter de la façon dont votre personnage a pu avoir vent de l’affaire et s’y mêler : des dignitaires de chaque faction ont décidé de recruter un peu le tout venant pour enquêter à Selveggia, une sorte d’emploi par un tableau d’annonce, mais il est tout à fait possible de s’y rendre de son propre chef pour des raisons opportunistes (pillage des habitations restantes) ou simplement par curiosité. N’hésitez donc pas à venir nous voir en message privé le cas échéant !
Alors pour s’y inscrire, c’est juste ici. Il suffit de poster à la suite de ce sujet en précisant quel personnage vous choisissez. Le staff est à votre disposition pour discuter de la façon dont votre personnage a pu avoir vent de l’affaire et s’y mêler : des dignitaires de chaque faction ont décidé de recruter un peu le tout venant pour enquêter à Selveggia, une sorte d’emploi par un tableau d’annonce, mais il est tout à fait possible de s’y rendre de son propre chef pour des raisons opportunistes (pillage des habitations restantes) ou simplement par curiosité. N’hésitez donc pas à venir nous voir en message privé le cas échéant !
Yndris
A bord d'un navire naute, en vue de l'île
Une histoire de démon ? Ça c'est un travail d'enquête sur mesure pour Yndris . #preum's
Invité
A bord d'un navire naute, en vue de l'île
allez, une relance pour mon grand Aamir, en espérant que les portes soient pas trop basses \o/
Invité
A bord d'un navire naute, en vue de l'île
Allez je ramène un peu de spiritualité native avec Elapouet =D.
Cuán
A bord d'un navire naute, en vue de l'île
Présent !
Invité
A bord d'un navire naute, en vue de l'île
eyes
Erika Acquisto
A bord d'un navire naute, en vue de l'île
Alors, comment ça fonctionne déjà ? Ah oui, faut appuyer sur les petites touches avec des lettres et les boutons de la souris !
Erika sera de la partie, autant se remettre dans le bain avec une atmosphère qui me plaît énormément ! On est partie !
Erika sera de la partie, autant se remettre dans le bain avec une atmosphère qui me plaît énormément ! On est partie !
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